Un début de concert avec le titre « Blackest eyes », plus qu’un grand classique !

le groupe est présent en formation quintet, constitué des trois musiciens d’origine à savoir Richard Barbieri aux claviers, Gavin Harrison à la batterie et percussions, et Steven Wilson au chant, guitare et claviers, ainsi que deux musiciens additionnels pour les sessions lives, Randy McStine à la guitare et Nate Navarro à la basse.

Steven Wilson échange un peu avec le public en français, mais la barrière de la langue reste un obstacle.

Les 3 écrans au niveau des MainStage restent malheureusement noir, un peu frustrant pour le public éloigné qui n’a que le son et pas d’images.

Problème technique ou volonté assumée ??

Seul l’écran de fond de scène dédié aux projections d’illustrations atmosphériques restera actif pendant la durée du show. Peut-être une philosophie du groupe qui serait de réfuter toutes approches iconiques et de privilégier le spectacle sonore.

Le son est bon, très bon. Les morceaux se succèdent, « Harridan » -«  of the new day »-« rats return » dans l’ordre du dernier album en date Closure/continuation de 2022.

Steeven s’adresse en français au public pour proposer un titre un peu plus joyeux, ironiquement ils entameront « Anesthetize » ainsi que ces prologues, un ensemble de morceaux très rarement joués sur scène.

Le groupe poursuit avec « Open car », titre qu’il n’avait pas joué en concert depuis 2010.

Porcupine Tree distille son métal progressif et hypnotique pendant 1h10. Les écrans reviennent pour les 2 derniers morceaux et c’est un réel plus pour compléter l’univers sonore du groupe.

Dernier morceau , « Train » entamé à la guitare acoustique par Steven.

Très beau concert, 9 morceaux interprétés en mode festival de main de maître.

Live report: Bob

Photo: Vinz Charp