Suite à la branlée reçue lors de l’Apocalypse Festival, c’est avec un plaisir non dissimulé que nous nous rendons sous la Temple pour tendre l’autre joue.
Akiavel, l’invité de dernière minute, remplaçant de luxe des Ukrainiens de 1914 n’est pas venu faire dans la dentelle. Rentrons dans les tréfonds des cerveaux délirants des plus connus des serial killers (me l’a faite pas comme dans la cité de la peur 🤣🤣🤣).
Pour ce début de set, le son, c’est du grand n’importe quoi. Quasiment pas de batterie, guitare trop forte, chant pas assez, basse inexistante. Il faudra au moins la moitié du premier titre pour que les réglages se fassent et de façon assez brutale.
Une fois ces inconvénients passés, Akiavel déroulé, exprimant sa pleine puissance.
Les véritables tueurs sont aujourd’hui sur scène. The Witness, BTK en introduction d’un set qu’on sait déjà trop court.
Le personnage d’Auré est complètement possédée cet après-midi sur la Temple et que dire du rouleau compresseur qui l’accompagne. Il y a pas à dire, c’est l’heure de la fessée.
La cohésion de ce groupe arrive à créer une ambiance, une magie.
Merci pour cette nouvelle branlée
Mais comment ça, c’est pas fini ? Invité sur scène Nico de Tagada Jones, Sylvain Demercastel de l’ONG Savage Lands, et le représentant des guitare ESP Nils Courberon pour un Roots Bloody Roots qui viendra conclure cette folie.
Le set: The Witness – Bind Torture Kill – My Lazy Doll – Zombie – Kind of Requiem – Pentagram Tattoo – Cold – Roots Bloody Roots
Live report : Bosco
Pix : Vinz